(Qu'on hésite pas à commenter ma fiche, au cas où j'ai commis quelques erreurs ou abstention. Merci d'avance!)
Nom: Lichresteïn (Nom actuel, son nom véritable étant Impératum )
Prénom: Hozkûll (Prénom actuel, son prénom véritable étant Goliathius, connu uniquement par ses amis proches.)
Race: Vampire
Age: 853 ans
Religion: Toute divinité.
Élément: Feu
Pouvoir spécial: Tout son corps s’embrase.
Métier: Maître d’arme
Guilde: Aucune Description Physique
Hozkûll est un vampire colossal. Grand et musculeux, il est aussi large qu’un taureau. Ses longs cheveux noirs, bouclés, tombent jusqu’à ses épaules en un amas ébouriffé tandis qu’une grosse barbe lui mord les joues. Ses yeux pourpres sont alourdis par des cernes, accentuant son regard attentif déjà ressorti par la pâleur de sa peau.
Sur son corps, il porte perpétuellement une armure ouvragé, dont un crâne à la gueule béante protège son abdomen. Ses gantelets possèdent une griffe chacune, affutés. Sur ses épaules, le vampire porte un manteau de fourrure, fait en peau d’ours. On peut y voir tracer dessus une tête d’ours rugissante, peinte en rouge, le symbole d’Hozkûll.
Sur son dos, il porte un bouclier d’acier, d’où son blason est représenté par une sculpture à même le métal. A sa ceinture de cuir, le vampire porte « étoile de minuit », soit la masse d’arme qu’il possède depuis bien des siècles et qu’il entretient avec respect. Etoile de minuit à une apparence proche d’une étoile du matin, à la nuance qu’elle est fabriquée de sorte à pouvoir être utilisé également à deux mains ainsi qu’elle ne possède pas de pique à sa boule, mais des bouts métalliques arrondi et pointu, à la manière d’une épine. C’est une arme spécialement crée pour Hozkûll, par rapport à sa force physique et son style de combat.
Le vampire dégage une forme de charisme, sa voix calme et profonde raisonnant aux oreilles de ceux qui l’entendent tandis que son visage inspire des siècles d’expérience. Quand il se moue, c’est avec une tranquillité étrange, camouflant la vivacité de ses gestes lorsque sa colère tonne.
Description Mental
Hozkûll est avant tout un vampire possédant un sang-froid redoutable et un sens de la répartie particulièrement gênant. Pour lui, les vampires sont une race qui, inexorablement, possédera le plein pouvoir sur Alona et cela, de droit. Raciste, les races mortelles sont pour lui des êtres inférieurs qui doivent parvenir par tous les moyens à devenir vampire, de sorte que les moutons deviennent les loups. Il se montrera cependant plus sympathique envers ceux qui se battent pour leurs idéaux, bien qu’ils n’égaleront jamais, aux yeux de Hozkûll, l’intelligence et la répartie des êtres immortels tel que lui. Les créatures ne connaissant pas la vieillesse sont les seuls exceptions à son dégoût. Mais là encore, le vampire considère qu’ils devront se plier sous l’égide du peuple vampirique. Envers sa race, Hozkûll se montrera toujours aimable et poli, voir même attachant. Les plus jeunes de son espèce sont pour le vampire des joyaux qu’il faut préserver et éduquer sans cesse, car Hozkûll voit un défaut de fonctionnement dans la soif de sang inextinguible de sa race. Il considère que, bien que les créatures mortelles soient un bétail indispensable, qu’il faut réfréner ses envies pour que la nourriture reste abondante. De plus, le vampire considère la patience et la retenue comme une preuve d’intelligence et que, pour atteindre la supériorité, il faut contrôler non seulement ses émotions mais ses pulsions. Idéaliste, Hozkûll se considère presque comme un visionnaire et un révolutionnaire, qui espère parvenir à faire de son peuple la plus grande des civilisations. D’un point de vue théologique, le vampire cherche à prouver aux dieux que sa race mérite sa grandeur et, pour cette raison, prie chaque dieu et déesse de toutes les religions existantes. Hozkûll ne manquera jamais de respect à aucune divinité et ne profanera pas leurs sanctuaires, qu’ils soient maléfiques ou bienveillant. Mais il n’hésitera pas à tuer leurs fidèles si la situation l’oblige. Par la même occasion, le vampire considère que les dieux sont des entités représentants les forces du bien et du mal et qu’ils régulent ainsi le monde pour que jamais un seul extrême ne puisse remporter le combat éternel, pour que le chaos ne puisse exister.
Histoire
Journal D’Impératum Goliathius, 3ème tome.
Quelle calamitée. Comprends-tu vraiment de quoi je parle, mon cher journal… ? De cette malédiction qui nous pousse, comme des bêtes, vers un festin ensanglanté dont l’intérêt n’est qu’instinct bas. En croyant atteindre l’immortalité, nous avons atteint en réalité notre propre prison dorée, dominé par ce qui est une abomination, une erreur de la nature. Souviens-toi de comment nous avons combattu sans retenu, sans cœur et sans âme, contre les autres peuples de se monde. J’ai vécu les guerres du passé comme beaucoup d’autres immortels. Nous avons connu la barbarie, la torture, les massacres, l’horreur et la misère. La richesse pour certains, la pauvreté pour d’autres. Et qu’avons-nous retiré d’autre que la mort et un statut instable? Nous sommes devenus des animaux stupides, sans foi ni loi. Regarde comme nous essayons de dominer les autres races, alors que nous sommes incapables de nous dominer nous même ! L’ordre des Vampires doit être, mais il ne peut subsister, ni se dissimuler, ni prendre plus de force si nous sommes perpétuellement en besoin ! Nous devons transcender notre sauvagerie et devenir des êtres de volonté si nous voulons affirmer notre pouvoir sur se monde et n’être pas que de futurs proies facile! De jours en jours, les autres races gagnent des forces, les magiciens non-vampires finiront tôt ou tard par posséder des pouvoirs qui seront capables de nous terrasser sans difficulté ! Nous avons les moyens pour éviter ses problèmes grandissants: Nous sommes plus forts que le commun des races de se monde, nous sommes plus intelligents et plus expérimentés que le plus âgés des mortels !
Ainsi, mon cher journal, mon tendre compagnon. Je te fais part de mes plans pour contrôler la furie sanguinaire propre à ma race. Etant un guerrier avant-même d’être un vampire, j’ai compris que le contrôle de soi-même pouvait être apporté par une pratique rigoureuse de l’art martial et une discipline de fer, doublé d’un code d’honneur ne devant être en aucun cas déshonoré. Pour ainsi dire, j’ai moi-même écrit une charte pour qui souhaiterais suivre mes traces.
1. Avec Honneur et Dignité, tu respecteras ton ennemie.
2. En aucun cas, la priorité personnelle n’est admise.
3. Si un être mérite le respect, observe-le et prends-y son positif.
4. Si ton prochain mérite ton attention, tâche de l’initier au plus vite.
5. Si un ennemi est digne, affronte-le. Ne sous-estime cependant personne, un couteau est moins dangereux qu’une épée mais assez pointu pour transpercer le cœur.
6. Ne commettez pas deux fois la même erreur.
7. La connaissance, c'est le pouvoir: Étudiez sans retenue!
8. N’insultez personne, mais écraser l’impotent. Il ne mérite pas que l’on tienne à lui.
9. La discrétion est maître mot, sachez camoufler vos émotions.
10. N’enviez jamais personne.
11. L’entraînement à l’arme est imposé 8H par jour. Le reste du temps est repos et l’étude assidue.
12. Vos envies personnelles ne valent rien, seule la discipline compte.
13. Si votre ennemi n’a pas d’arme, donnez-lui en une.
14. Apprenez de vos erreurs.
15. Le calme est votre allié le plus précieux, gardez votre contrôle.
C’est cette charte que j’ai conçu lorsque je me suis retiré du monde connu pour m’enfouir dans les coins les plus reculés du monde. J’ai pu ainsi découvrir des moyens pour retarder considérablement le besoin d’assouvir la faim.
Tu sais, tu pourrais te demander pourquoi, journal, j’ai fini par prendre la décision de tenter d’effacer la malédiction vampirique.
J’ai passé ma vie entière dans les conflits permanents entre royaume. J’ai vu de très grandes batailles au levé de mon existence…. Mais qu’étions-nous vraiment, nous vampire, face aux êtres supérieurs que sont les Dieux ? Des bêtes assoiffées de sangs, des bouffeurs de cadavres, pétris dans l’horreur et la douleur. Pour être francs, nous étions les primitifs. Des inférieurs…. Nous n’étions que des chiens sans maître nourris par la guerre, des enfants des batailles qui sont devenu, pour certains, des légendes. Que sommes-nous aujourd’hui qui ne soit pas le reflet de cette ancienne époque ? Ne faut-il pas enfin que le monde reconnaisse la puissance des vampires ? Notre pouvoir ? Qu’enfin nous soyons vus comme des êtres supérieurs et la digne race des Dieux ? Nous méritons mieux que de faire luxure nos demeures sur des orgies de vierges égorgées, que nos mains soient salis par les traits d’encres cent fois tracés d’une signature funeste, tuant un homme par simple caprice ! Je souhaite à ma race le savoir nécessaire à la construction d’une véritable industrie, un peuple capable d’inventer et de créer par ses capacités une ville, une région, un pays, un continent tout entier, en empêchant les races plus faibles de nous tenir tête! Ils ne méritent après tout ni savoir, ni pouvoir, puisque nous sommes supérieur à eux!
Cependant, journal, je dois me contenter d’essayer de trouver un moyen pour contenir la Soif. Tel est mon rôle et la voie que m’a offert la destiné. Cela fait prêt de un mois que je n’ai pas prit une seule goutte de sang et je sens la faim commencé à me tordre le ventre. J’espère pouvoir me contenir encore un peu, mais je sens mes forces me quitter. J’ai appris à mes dépends que la vigueur, ainsi que la puissance, s’amenuisait au fil des jours quand on ne se nourrissait pas. Il me faut tenir, il me faut trouver un moyen pour soustraire mon appétit. Jusqu’à présent, les tests d’alchimie n’ont donné aucun résultat, je ne peux pas me replier pour le moment sur un breuvage capable de stopper, même de calmer, la faim des Vampires. Mais tôt ou tard, je trouverais la solution ultime à notre faim et alors, nous serons les êtres les plus évolués de toutes les terres et rien n’y personne ne pourra nier notre supériorité.
Journal d’Impératum Goliathius , 10ème tome.
Journal, chère Journal. Alors que je me reposais dans une taverne, j’ai croisé le Comte Volnar et son épouse, la Comtesse Isabella. Volnar est un ami de longue date. Quand nous étions encore mortels, il était mon subalterne, un simple soldat à mon service. Brillant, mais peu combatif. Il faut croire qu’après des siècles, l’administration lui a permit d’acquérir la place qu’il souhaitait en se monde avec une ravissante femme en compagnie, deux siècles moins âgées que lui. Il m’a proposé de rentrer à son service en tant que maître d’armes de son château, connaissant mes méthodes, fondés aux fils des siècles. J’ai refusé catégoriquement. Je suis un solitaire et dans le milieu, il devrait savoir que je rechigne à posséder des disciples.
Il m’est arrivé cependant d’en avoir eu un. Elle s’appelait Eludir, une jeune humaine qui possédait assez d’imagination pour attirer mon regard. Je l’avais trouvée un soir alors qu’elle tentait de subtiliser ma bourse. Cela peut sembler anodin, mais un vampire affamé sent très facilement les odeurs et perçoit avec une facilité tout ce qui vie. J’étais stupéfait de ne pas avoir remarqué plus tôt sa présence.
Je l’avais trouvé admirable, elle l’était.
C’était un véritable génie, ma plus belle trouvaille en matière de combattante. Elle était orpheline, il fut simple pour moi d’en faire mon apprentie. Je la chérissais comme ma propre fille et elle me le rendait bien. A de nombreuses reprises elle me sauva la vie. Je lui enseignais mon art martial, Eludir m’apprenait à croire un peu plus en la jeunesse de se monde avec son optimisme… C’était une relation étrange que j’appréciais particulièrement, de mortel à immortel.
Le destin voulut que nous nous séparions, par l’âge. Je n’ai jamais compris pourquoi elle ne voulut pas suivre la voie que j’ai empruntée. J’assistai à son enterrement quand elle atteint quatre-vingts ans, entouré de la famille qu’elle s’était construite et des militaires qui suivaient son idéologie. Elle, la pauvre enfant de rue, elle que je connus hautaine et pleine d’énergie, était devenue l’idole des jeunes de son époque à travers des actes de bravoure et, à un certains âge, une sage. Je suis fier d’avoir pu être son maître, à jamais elle me manquera.
Mais revenons à un sujet plus Noble, si je peux me permettre.
Isabella, la femme du comte Volnar, me proposa quelque chose d’un peu plus exotique à mon habitude. La rencontre d’une de ses connaissances, une certaine Guënadypso, une vampire de classe supérieur apparemment intéressée par moi. Elle me donna une lettre cachetée d’un sceau de cire que je me suis empressé d’ouvrir. En voici le contenue exacte.
« Mon amie,
J’ai entendu parlez de vous très récemment par le comte Volnar. Je dois dire qu’une femme comme moi ne peut échapper à la curiosité quand elle sait qu’elle peut avoir des affaires…Dirons-nous largement compenser, avec un homme tel que vous… Je vous propose de me retrouver à mon club privé, L’Eclatante. Nous y serons plus au calme pour discuter de mes demandes…»
A votre consentement, Guënadypso Lareine
Journal d’Impératum Goliathius, 12ème tome.
Guënadypso. Tu sais, journal, à quel point j’ai aimé cette femme. Je me souviens encore de notre première rencontre, à l’Eclatante, où nous avons longtemps discuté de tout et de rien, de la pluie et du beau temps, sans pour autant se lasser un seul instant de l’autre. Nous avons même offert nos corps aux désirs, ce qui est un exploit pour elle. Jamais aucune femme ne m’a touché, j’ai toujours refusé par discipline. Je ne sais pas qu’elle faiblesse se jour-là j’avais, mais elle m’a envoûté et cueilli comme une fleur. L’amour est une chose étrange, qui change même l’être le plus endurci. Faut-il le croire, en tout cas. Nous avons passé quelques années ensembles sans que rien ne s’étiole. Puis vînt sa mort soudaine, assassinée par des garous. Ces choses ne méritent plus aucune pitié de ma part, ils ne sont que des animaux ! Des bêtes de sommes qui serviront humblement les idéaux de leurs maîtres vampiriques ! Je m’étais montré clément par le passé : A l’époque de ma première vie, je leur dois le décès de mes soldats ainsi que la mienne. Sans doute étais-ce la rage qui m’avait envahie qui fit ma renaissance. Mais alors, je n’avais pas levé les armes pour réclamer vengeance. Ils ont assassiné ma femme, ils ont assassiné ce qui était supérieur à leurs misérables vies ! Seuls ceux qui parviendront à l’état vampirique ne subiront pas mon courroux. Quand au reste, rien n’y personne ne les empêcheras d’être esclave !
Journal d’Impératum Goliathis, 15ème tome. Aujourd’hui est un jour bien particulier, cher journal. Très particulier, car je viens d’apprendre l’existence des Andizyms, une secte qui cherche à ramener la déesse Izym. Certes, pour eux, cette déesse est la priorité. Mais ils semblent également s’attacher à permettre aux Affrits de revenir sur Alona. N’est-ce-pas tout simplement merveilleux ? Certes, ils ne font pas forcément partie de la race supérieure, mais leur but, au contraire, est évolué. Enfin, certains comprennent que sans dieux, nous ne sommes rien et que seul leur clairvoyance et leurs pouvoirs permettront l’existence d’un âge nouveau. Il est maintenant clair qu’il faut réveiller mon peuple et profiter de cette secte montante pour faire place à l’empire vampirique et cela, jusqu’à la fin des temps. Il faut que je trouve des alliés sûrs, puissants, qui puissent permettre notre évolution au-dessus de toute race et s'introduire dans le cercle mystérieux des Andizyms. Peut-être pourrais-je profiter de cette situation pour faire ressusciter, à leur insu, les Archanges. Il faut permettre leur existence au sein du monde auquel cas, mes ambitions ainsi que l'ordre seront bafoués.
Et en se jour particulier, cher journal, j'ai pris une décision. J'ai assez patienter pour qu'enfin jaillisse le pouvoir à porté de main! Je fais la promesse, par écrit, que jusqu'à ma mort, je servirai la cause vampirique pour permettre, enfin, que justice soit faite! Nous sommes la race supérieur! Que tremble les mortels, les vampires se soulèvent!